Description
Le lierre d’ornement – Hedera helix ‘Sophien’
En résumé
Le lierre d’ornement, Hedera helix ‘Sophien’, présente un feuillage vert clair à vert moyen, avec de belles veines apparentes.
La feuille est brillante, enroulée, récurvée depuis le lobe apical. En hiver, le feuillage prend une belle teinte rosée.
Les pousses sont vigoureuses, la plante est branchue et forme de belles touffes originales.
Historique
Ce cultivar fut découvert en 2006 par Robert Krebs de la Société Allemande du Lierre près d’une pépinière à Flensburg, Allemagne.
Fiche technique - Hedera helix 'Sophien'
Informations botaniques
- Famille : Araliacées
- Genre : Hedera
- Espèce : helix
- Cultivar : ‘Sophien’
- Classification Pierot : lierre en forme de coeur, lierre aux feuilles ondulées-crispées
- Stade feuillage : juvénile
- Origine de l’espèce : Europe, de l’Espagne à la Norvège, mais peu sur la côte atlantique.
- Origine du cultivar : découvert par Robert Krebs de la Société Allemande du Lierre, en 2006
Description de Hedera helix ‘Sophien’
- Port : trapu, touffe
- Nombre de lobes : 0 à 3 lobes en général
- Longueur de la feuille : 5 cm
- Largeur de la feuille : 5 cm
- Couleur de la feuille : vert clair à vert moyen
- Variante de couleur : teintes rosées en hiver
- Couleur des nervures : vert clair
- Couleur tige et pétiole : pourpre verdâtre
- Longueur du pétiole : 3 à 5 cm
- Tige : bien ramifiée, branchue
- Epaisseur du matelas : peu épais
- Entre-nœuds : 2 à 3 cm
- Poils : stellaires, 3 à 5 branches
Conseils plantation, culture et entretien de Hedera helix ‘Sophien’
- Exposition : ombre, mi-ombre, soleil
- Rusticité : -15°C
- Humidité du sol : sol frais
- PH du sol : neutre ou calcaire
- Type de sol : tous
- Richesse du sol : ordinaire ou humifère
- Utilisation : grimpant, couvre-sol, potées, jardinières
- Développement : vigoureux
- Taille : une fois par an
- Ravageurs : très rares (araignées rouges, cochenilles)
- Maladies : très rares (taches sur les feuilles)
Le lierre dans la littérature : citations
“Je regardais ce lierre, rampant et indomptable, comme une métaphore de la mémoire persistante.”
Marcel Proust, A la recherche du temps perdu
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